L’histoire de Fred te dit peut-être quelque chose. C’est celle d’un freelance tech qui s’est lancé avec plein de rêves en tête, mais qui a rapidement découvert les limites de son modèle.
Fred était salarié quand son ancien patron lui a proposé une mission de 6 mois en freelance. L’idée lui a semblé parfaite : il allait enfin construire sa liberté. Mais comme il voulait éviter l’administratif, il a opté pour le portage salarial. Tout était simple, tout était géré, et il n’avait qu’à dérouler sa mission. Jusqu’à ce que la mission arrive à son terme, et là, tout a basculé.
Les défis invisibles du portage salarial
Quand sa mission s’est terminée, Fred s’est retrouvé sans solution immédiate. Sa société de portage l’a remercié : « Sans mission, on ne peut pas te garder. Mais tu as le chômage et tout ».
Sauf que Fred ne voulait pas retourner à la case départ. Le chômage n’était pas une option pour lui, mais il n’avait pas pris le temps, pendant sa mission, d’apprendre à prospecter, à vendre ses compétences, ou à trouver de nouvelles opportunités. Il pensait que mettre son profil sur des plateformes et ajouter quelques recruteurs suffirait.
Pourquoi cette situation est fréquente
Le problème, c’est que beaucoup de freelances tombent dans ce piège. Lorsqu’ils débutent en portage salarial, tout semble fluide. Pas besoin de se former au business, pas besoin de stratégie, juste à travailler. Mais dès qu’une mission se termine, le vrai challenge commence : comment trouver des clients, développer une activité pérenne et ne pas dépendre d’une seule opportunité ?
Ce que Fred a appris pour reprendre le contrôle
Lors de notre call de découverte, on a travaillé sur plusieurs points essentiels :
– Changer de mindset : Fred a compris qu’il n’avait pas échoué, mais qu’il devait apprendre à gérer son activité comme un vrai entrepreneur.
– Explorer ses compétences : Plutôt que de paniquer, on a identifié ce qu’il sait faire, les problèmes qu’il peut résoudre, et comment ces compétences peuvent attirer des clients.
– Se former à la prospection active : Plutôt que d’attendre que les opportunités arrivent, Fred a appris à aller les chercher.
Aujourd’hui, Fred reprend le contrôle de sa carrière. Il sait comment structurer sa prospection et valoriser son expertise. Et surtout, il ne dépend plus d’une société de portage ou d’une mission unique.
Une liberté, ça se construit
Être freelance, c’est bien plus que travailler sans patron. C’est construire une véritable liberté professionnelle et financière. Et pour ça, il faut des bases solides : savoir vendre, prospecter, se positionner, et diversifier ses sources de revenus.
Si toi aussi tu veux éviter les erreurs de Fred et construire une activité freelance pérenne, je propose quelques créneaux pour discuter de ta situation. Viens en parler, et on verra comment avancer ensemble.