Introduction
En tant que salarié, j’ai pris conscience qu’on me prenait pour un pigeon le jour où :
- En télétravail, je bossais efficacement.
- Je terminais mes projets rapidement.
- Je finissais tôt pour profiter de mes proches.
Et pourtant, l’entreprise a voulu que je revienne en présentiel, faire mes heures exactes, quitte à ne rien faire pendant des heures. Sans plus de reconnaissance.
C’est à ce moment-là que je me suis dit :
Mon but dans la vie sera de travailler moins, kiffer plus, sans jamais rogner sur mes revenus.
Voici comment cette réflexion m’a conduit à quitter le salariat et à repenser complètement ma manière de travailler.
Devenir freelance : Une étape clé, mais pas suffisante
Quand j’ai quitté le salariat, je suis d’abord devenu freelance. Mais pas pour vendre au TJM ou pour des missions longues. Pourquoi ? Parce que cela signifiait :
- Un retour aux contraintes horaires.
- Une dépendance totale : si je ne bosse pas, je ne suis pas payé.
Mes objectifs en freelance
Ce que je voulais, c’était :
- Bosser sur des projets qui m’intéressent vraiment.
- Fixer mes propres conditions de travail.
- Travailler moins sans rogner sur mes revenus.
Les défis que j’ai rencontrés
Cela n’a pas été aussi simple que je l’avais imaginé. Pour atteindre mes objectifs, il a fallu :
- Apprendre à trouver mes clients moi-même. Sortir des plateformes et des intermédiaires pour être autonome.
- Ne plus vendre mon temps. Cela signifiait repenser complètement mon modèle économique.
Quand j’arrête de bosser, je n’ai pas de manque à gagner. Pourquoi ? Parce que je m’organise pour livrer mes clients comme convenu.
Ma nouvelle expérimentation : Le Solopreneur asynchrone
Pour aller encore plus loin, je teste actuellement le concept de Solopreneur asynchrone. L’idée est simple :
- Continuer à générer des revenus même quand je ne travaille pas du tout.
Pour être honnête, ce n’est pas encore une réussite complète. Mais je progresse et j’apprends chaque jour.
Pourquoi je partage cette expérience
Sur LinkedIn, je partage ce que je connais le mieux :
- Comment trouver des clients soi-même.
- Comment ne plus vendre son temps.
Cela s’adresse surtout aux freelances dans la Tech qui cherchent à sortir des schémas traditionnels.
En conclusion
Quitter le salariat a été une étape clé pour retrouver ma liberté. Mais cela ne s’est pas fait sans effort. Aujourd’hui, je continue d’expérimenter et de progresser vers un modèle qui me permet de travailler moins, tout en générant des revenus.
Tu veux apprendre à structurer ton activité freelance et à ne plus vendre ton temps ? Découvre mon programme d’accompagnement pour freelances tech.
Et toi, qu’est-ce qui te motive à sortir du salariat ?